Une Air D’Autoroute En Pleine Nuit 2

Je viens de sodomiser cette inconnue que j’ai rencontré sur l’air d’autoroute. Après avoir remarqué que la cabine d’un camion s’était allumée alors que nous étions en plein ébat, nous avons décidé de retourner vers nos voitures et le bâtiment des toilettes. Nous nous sommes légèrement rhabillés et nous grillons une cigarette assis sur le capot de ma voiture.

Dès que ma belle écrase sa clope, elle tâte mon paquet et remarque que je suis encore bien raide. Je n’ai pas éjaculé tout à l’heure et entre ses fesses, que mes yeux n’arrêtent pas de dévorer et ses mains baladeuses sur mon corps ça a maintenu mon excitation. Je glisse ma main entre ses cuisses et constate qu’elle est dans le même état que moi avant même d’atteindre son Mont de Vénus.

Après avoir tester pour la première fois la sodomie (franchement j’ai encore du mal à croire qu’elle était vierge de ce côté là) elle a encore envie, ça tombe bien moi aussi. Elle m’entraîne vers les toilettes, nous rentrons du côté des hommes et elle me tire jusqu’à la dernière cabine. Je vois immédiatement un gode à ventouse collé sur un mur. Elle m’a dit vrai tout à l’heure, elle était vraiment entrain de se remplir le cul avec une bite en plastique pendant que je pissais avant de la voir la première fois.

Quand je vois le sac par terre dans lequel il y a un autre gode, du gel et sûrement plein d’autres choses intéressantes, je suis content d’être tombé sur une telle salope et encore plus si elle était vraiment vierge du cul. Alors qu’elle se penche pour ramasser ses affaires, elle me dévoile de nouveau sa croupe, j’en profite pour enlever le peu d’habits que je porte.

Quand elle se retourne est qu’elle me voit nu avec la bite bien droite, elle a un sourire coquin et ressort le lubrifiant de son sac. Je me branle, profitant d’une spectacle de sa croupe qu’elle cambre bien, alors qu’elle enduit de gel le gode ventousé au mur. Je ne peux m’empêcher de lui caresser les fesses et bien sûr les trous.

Son cul est tellement ouvert que je rentre directement 2 doigts en elle alors que je la vois branler la bite en plastique.

Pendant que je la ramone paisiblement avec ma main, mon inconnue se dégage, me fait la quitter et se retourne. Sa tête est face à ma queue mais elle ne la touche pas, par contre une de ses mains vient se glisser entre ses jambes. Je me décale sur le côté pour voir la belle s’enfoncer le gode, toujours accroché au mur, entre ses fesses. Elle le fait rentrer tout doucement, pour profiter de chaque centimètre, et gémit pour accompagner son plaisir.

En la voyant reculer son bassin pour se remplir le plus possible, je ne peux m‘empêcher de l’encourager. C’est une grosse coquine qui n’en a jamais assez puisque maintenant elle joue à faire aller et venir le sexe en plastique dans ses entrailles. Son rythme est crescendo et je suis la cadence avec ma main sur mon sexe. Au bout d’un moment, elle recule tellement qu’elle plaque ses fesses contre le mur.

Elle m’empoigne par la tige et m’attire face à son visage, elle ouvre la bouche pour m’accueillir. Je pose mon gland sur ses lèvres, pendant qu’elle le lèche je l’att par la nuque et la maintiens pour m’enfoncer entre ses dents. Elle plaque bien ses lèvres autour de ma queue et commence à jouer avec sa langue. Je lui baise doucement la bouche et mon inconnue plaquent ses mains sur mes fesses et les serre fermement.

Elle m’immobilise complètement, avance son corps pour faire ressortir le gode de son cul et m’enfonce plus profondément dans sa bouche. Pendant qu’elle recule pour se remplir à nouveau les entrailles, sa langue tournoi autour de ma bite en remontant. Puis elle recommence l’opération mais maintenant plus rapidement, bien que sa bouche soit remplie je l’entend gémir. J’espère que quelqu’un va l’entendre ronronner et venir nous rejoindre pour remplacer le gode mais vu l’heure tardive il y a très peu de chance.

Maintenant à chaque fois qu’elle recule j’avance un petit peu, ses mouvements deviennent moins ample mais de plus en plus sec et bestiaux.
Je n’arrête pas de toucher sa glotte, ses gémissements deviennent des cris. J’avance tellement que maintenant elle est totalement rempli dans ses deux trous. Je la vois remuer du bassin en même temps que ses lèvres serrent mon sexe et que ses dents ratiboisent le tout.

Son corps se met à vibrer, elle bouge de plus belles ses fesses mais sa bouche est moins attentionné avec moi. Malgré ses lèvres totalement rempli par ma bite elle crie de plus en plus fort. Quand elle commence à se calmer, je recommence à lui baiser la bouche sauvagement mais elle me fait reculer et sortir, dommage j’aurai encore bien profité de sa langue si experte.

Alors qu’elle s’avance tout doucement pour libérer ses entrailles, je préfère ne pas me toucher, devant ce spectacle, pour faire encore plus durer le plaisir. Elle reste dans sa position de chienne, quasiment à 4 pattes, elle part à tâtons décroche la bite en plastique du mur. Mon inconnue, me fixe malgré ses lunettes de soleil je sens son regard sur moi, pendant qu’elle replace le gode entre ses fesses.

Une fois que le sexe en plastique et bien calé, elle se retourne et me présente sa croupe. J’empoigne ma tige et la badigeonne de son nectar qui coule jusque sur ses cuisses. Je la positionne devant moi et je m’enfonce tout doucement entre ses lèvres intimes. Son sexe est très serré, dû à son autre trou bien rempli, ce qui rend l’invasion de sa grotte encore meilleure.

J’adore la double pénétration parce que non seulement l’orifice est encore plus fermé sur ma tige mais aussi la sensation de frotter ma bite à une autre… Sentir les veines frotté les miennes, les palpitations de la queue excitée, les deux paires de couilles se cogner avec ardeur… Certes, là je n’ai à faire qu’à un gode mais plutôt bien fait donc je retrouve partiellement ces bonheurs que j’affectionne.

Elle apprécie tout autant de moi parce que je sens son nectar couler sur mes couilles et même mes cuisses. Maintenant qu’elle est un peu plus ouverte, je peux augmenter le rythme de mes allers retours dans sa grotte.
Je pose une main sur son dos et dès qu’elle relève la tête je l’att par les cheveux pour encore mieux la posséder.

Avec mon autre main je fais tourner la bite qui est dans son cul ce qui augmente notre plaisir à tous les deux. Nous nous privons pas pour le manifester et ça ne fait qu’augmenter notre excitation. Quand je sens que la jouissance monte un peu trop en moi , je calme mes mouvements tout en les accompagnant par des aller retour avec le gode.

Au bout d’un moment j’ai envie, d’encore une fois, profiter du cul de mon inconnue. Je décule tout doucement le sexe de plastique pour bien profiter de ses frottements contre moi. Une fois sa rondelle libérée, je sors de son vagin d’un coup sec et me plante tout aussi violemment entre ses fesses. Quand je suis bien au fond, je remplace ma présence dans sa grotte par le gode.

Dans ce sens c’est plus difficile de la limer et jouer avec la bite en plastique qui est en elle. Du coup je donne des coups de reins le plus violent possible en espérant qu’elle sente les répercutions au niveau de sa chatte. Je ne sais pas si ça fait l’effet escompté mais ses manifestations de plaisir sont toujours aussi sonores. Pour agrémenter la sodomie je ne manque pas de la fesser régulièrement.

Nous continuons à jouer comme ça pendant un bon moment, mais mon inconnue veut du changement. Elle me demande de la quitter alors que je viens seulement de retourner dans son cul. Elle m’assoit sur la cuvette des toilettes, alors que ses mains parcourent mon corps. Elle retire la bite en plastique emprisonnée dans sa grotte trempé et la replante directement entre ses fesses.

Puis elle s’approche de moi, me tourne le dos et m’enjambe. Elle s’empale d’un coup sur mon sexe jusqu’à ce que je sente la base du gode me taper le ventre. Elle monte et descend sur moi à un rythme fou et à chaque fois elle fait remuer la bite en plastique qui est dans ses entrailles. J’adore son côté vraiment salope et en plus elle ne s’arrête pas là.


Après quelques mouvements, elle se soulève, échange le gode d’orifice et se retourne pour me faire face. Elle s’assoit de nouveau sur moi avec le même manège mais dans l’autre sens, elle profite des deux queues qui lui excitent les trous. J’empoigne bien ses fesses pour que nos ébats deviennent encore plus animal.

Elle me rend de plus en plus fou à changer de trou sans arrêt. Surtout que grâce au gode celui que je pénètre et toujours bien serré autour de ma bite. Alors qu’elle s’assoit face à moi pour que je la sodomise pour la énième fois, je sens que je ne vais plus résister très longtemps à ce traitement.

Elle s’assoit bien sur moi, ondule du bassin et att mon visage à deux mains. Après s’être rouler une pelle magistrale, elle me dit avec toujours ses doigts sur mes joues:
« Tu n’as pas arrêter de me faire jouir, à mon tour. »
Elle me sourit m’embrasse encore une fois et me demande:
« Tu veux jouir dans ma bouche? »

Je sens son sourire coquin quand elle me pose cette question, je ne vois pas ses yeux derrière ses lunettes mais je les devine tout aussi grivois. Pour rentrer dans son jeu je lui un répond un long:
« Ouuuuuuuiiiiii »
Je n’ai pas le temps de plus réagir que ma belle inconnue se lève, retire le gode de sa chatte, le ventouse par terre et s’assoit dessus. Une fois à la hauteur de mon entrejambe, elle se rempli la bouche avec mon mat.

Alors qu’elle monte et descend sur la bite en plastique, ses lèvres glissent sur ma queue au même rythme. Les mouvements de son bassin sont de plus en plus ample comme ceux de sa bouche jusqu’à me faire des gorges profondes. Elle n’oublie pas pour autant de s’occuper de mon gland et surtout de mon frein.

J’ai de plus en plus de mal à me retenir et elle le sent bien puisqu’elle en joue. Elle s’assoit complètement sur le gode, j’ai l’impression que ses fesses touchent le sol. Elle tire la langue et la pose sur mon frein, avec ses lèvres elle enserre mon gland et fait courir ses doigts sur toute la longueur de ma bite.

Elle s’agite mais tout doucement comme pour profiter de chaque seconde supplémentaire ou elle peut jouer avec ma tige. Elle est entrain de me rendre complètement fou, je ne suis plus au stade de gémir mais à celui des râles de bonheur. Je profite du bonus qu’elle m’offre mais malgré une concentration intense je sens mes veines se gonfler dans sa bouche et j’envoie une première giclée directement sur son palais.

Sa bouche coulisse le long de ma bite pour être sur de rater aucune goutte des jets suivants. Je sens sa bouche se remplir, mon sperme qui se balade et se colle à ma queue alors qu’elle aspire les dernières gouttes. Elle me fait sortir doucement d’entre ses lèvres et m’empoigne fermement.

Elle embrasse mon gland et toujours en gardant mon sexe à la main, elle ouvre la bouche en grand. Elle me montre mon jus toujours sur sa langue, comme dans les films porno elle joue avec. Elle referme ses lèvres, je la vois et surtout l’entends avaler ma semence puis elle ouvre en grand la bouche. Elle me montre qu’il n’en reste plus une goutte.

Je lui caresse la joue et lui sourit mais mon inconnue se jette sur ma queue et s’empresse de la nettoyer. Maintenant que j’ai ramolli elle arrive à m’avaler entièrement, je sens sa langue qui passe dans chaque plis et replis. Evidement elle n’oublie pas mes couilles, au cas ou une goutte se serait perdu par là bas!

Une fois la toilette fini, sans lâcher ma queue qui commence déjà à redurcir, ses yeux se plonge dans les miens. Je n’ai même pas remarqué mais elle a enfin retirer ses lunettes de soleil, je découvre ses yeux « couleurs menthe à l’eau » comme dirait le chanteur. Elle sent entre ses doigts que je reprends la forme et entreprend de recommencer une pipe.

Je l’arrête en lui proposant d’abord une pause cigarette. Nous nous rhabillons légèrement mais j’exige qu’elle garde le gode planté dans son cul pendant que nous sortons fumer. La cigarette est vite terminée, nous avons recommencé à baiser en extérieur puis le froid nous a décidé à rentrer. Ce fut plus rapide mais tout aussi intense. Elle me demande de lui faire une faciale et a repris la route avec mon sperme qui dégouline sur son visage.

Je suis remonté dans ma voiture et j’ai bandé très régulièrement en l’imaginant ramassé mon jus avec son doigt pour l’avaler de temps en temps. Ou peut être même allumé d’autres conducteurs qui, grâce aux premières lueurs du jour, la verrai ainsi et lui proposerai une pause… En tout cas je n’ai jamais revu cette inconnu mais je me rappellerai longtemps de cette aire d’autoroute…

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